Question
Pourquoi ce nom, 200 ?
Answer200, c’est la distance en kilomètres que des cyclistes “moyens” comme nous le sommes peuvent couvrir en une journée de vélo. Presque facilement. Sans qualités sportives ou aptitudes exceptionnelles, mais avec simplement un peu d’entraînement…
Question
Je me suis abonné il y a deux semaines, mais je n'ai pas encore reçu mon exemplaire. Est-ce normal ?
AnswerOui. Le départ des exemplaires destinés aux abonnés ne peut se faire qu’en lots. Nous les expédions toutes les deux à trois semaines. De la même manière, les chèques ne sont encaissés qu’une à deux fois par mois. Pas d’inquiétude.
Question
Le magazine était disponible dans les kiosques de ma ville avant que je n'aie reçu mon exemplaire, alors que je suis abonné. À quoi bon ?
AnswerLes exemplaires destinés aux abonnés et ceux qui partent en kiosque sont imprimés le même jour. Les premiers partent chez les abonnés après un détour chez le routeur, les autres sont distribués par Presstalis. Suivant les régions, il peut arriver que le réseau Presstalis soit plus rapide que La Poste. Nous pourrions demander à La Poste un acheminement plus rapide… mais il serait plus cher, et votre abonnement avec. En vous abonnant, vous soutenez 200 et nous aidez à grandir. Vous êtes aussi certain de recevoir le magazine à votre domicile. Et vous le payez 5,50 euros, contre 6,50 € en kiosque.
Question
À qui appartient 200 ?
AnswerAux quatre salariés-coopérateurs de la Scop Foutrement Large Éditions : Alain Puiseux, Matthieu Lifschitz, François Paoletti, Claire Leyreloup, qui en détiennent 100% des parts.
Question
J'ai un sujet à vous proposer. Seriez-vous intéressé ?
AnswerAutant le dire, nous sommes difficiles : il nous faut un sujet, un angle, de bonnes photos, un très bon texte, et pas de voyage en avion pour réduire notre impact.
Mais oui, nous sommes curieux (sinon, à quoi bon ?) et nous lisons avec attention tous les textes que nous recevons.
Question
Comment 200 essaye de réduire son impact ?
AnswerVoici nos dix « roules » carbone
- Nous ne prenons plus l’avion pour faire du vélo.
- Nous ne commandons plus de reportages impliquant un voyage dont l’auteur a eu recours à l’avion.
- Nous ne publions plus de récits de voyage effectués grâce à un vol en avion.
- Nous faisons une exception à la règle 3 si l’auteur(e) réside sur place ou fait au voyage au long cours pendant au minimum un an, sans prendre l’avion durant cette période, et à condition que le reportage n’ait jamais été la raison de son voyage.
- Nous prenons prioritairement le train pour nos déplacements professionnels.
- Nous ne prenons une voiture que lorsqu’un trajet en train est impossible.
- Le bilan carbone de 200 prend en compte les sujets réalisés ou commandés par la rédaction.
- Le bilan carbone de 200 ne prend pas en compte les sujets réalisés par des contributeurs extérieurs quand 200 ne les a ni suscités, ni encouragés.
- Le bilan carbone des sujets coproduits avec d’autres médias est réparti entre ces médias et 200 suivant la part que chacun prend.
- Les cas de figure qui ne sont pas prévus dans les points 1 à 9 seront étudiés avec bon sens, en accordant la nécessité des règles et la complexité du monde.
Question
Pourquoi n'indiquez-vous pas toujours le poids des vélos ?
AnswerOui. Si vous êtes coureur, grimpeur (ou les deux), le poids d’un vélo a une importance. Mais dans toutes les autres situations (longue distance, cyclotourisme, balade, voyage, courses à l’épicerie…), il n’a guère de sens et il est bien moins important que le ressenti au guidon. Nous ne donnons que le poids des vélos spécifiquement “course”.
Question
Pourquoi n'avez-vous pas d'édition numérique ?
AnswerHonnêtement, nous y pensons… mais n’avons pas le temps de tout faire. Les solutions technologiques restent encore, pour de petits éditeurs, complexes et chères.
Question
Il y a très peu de publicité dans 200. C'est volontaire ?
AnswerOui et non. Le comptable ne serait pas mécontent de voir quelques rentrées supplémentaires, mais la rédaction est ravie de ne pas dépendre des annonceurs. La croissance de 200 se fait grâce à ses lecteurs. Elle est plus lente qu’avec un business-modèle basé sur la pub, mais elle est aussi plus solide.
Question
Et si je veux passer une pub dans 200 ?
AnswerVous envoyez un mail à regie200magazine@gmail.com. Hors promotions, le prix d’une page est de 780 € H.T. Il augmentera en même temps que notre audience, estimée à l’été 2016 à 35000 lecteurs.
Question
Je veux présenter mes produits dans 200. Comment faire ?
AnswerNous ne présentons dans nos pages produits, sauf exceptions signalées (la page “je le veux”) que des équipements ou vélos que nous avons testés, souvent pendant plusieurs centaines de kilomètres. Vous pouvez nous proposer des produits en test (regie200magazine@gmail.com). Mais nous ne faisons pas de présentation sur communiqué.
Question
J'hésite entre deux vélos. Est-ce que vous pouvez m'aider ?
AnswerUn bon vélociste vous posera des tas de questions pour bien cerner vos attentes avant de vous recommander un modèle plutôt qu’un autre. Chacun son métier. C’est ce qui fait que les bons vélocistes sont précieux.
Question
200 est trimestriel. Envisagez-vous d'accélérer le rythme ?
AnswerOui, nous venons de publier déjà deux premiers hors-série.
Question
Vous annonciez dans l'avant-dernier dernier numéro un sujet… que je n'ai pas retrouvé en ouvrant 200. Que se passe-t-il ?
AnswerNous avons deux bonnes raisons (enfin, nous l’espérons) de ne pas tenir toutes les promesses du sommaire. 1. Nous donnons la priorité aux sujets “frais”, qui peuvent nous être soufflés par l’actualité notamment, et s’imposer en cours de fabrication du numéro. Vive les surprises ! 2. Nous publions les sujets… lorsqu’ils sont prêts, et fin prêts. Cela vaut surtout pour les dossiers de fond. Certains peuvent être retardés parce qu’ils sont difficiles à illustrer, notamment. Mais nous ne les oublions pas.
Question
C'est formidable que vous partagiez vos itinéraires, mais pourquoi passer par une application payante comme Komoot ?
AnswerLe choix d’utiliser une application pour communiquer nos parcours est guidé par la simplicité : Komoot et d’autres en ont fait leur métier, quand le nôtre est de fabriquer un magazine. L’abonnement à Komoot nous a paru plutôt accessible et sachez que 200 ne bénéficie — promis, juré — d’aucun intéressement.